Pearl’s Peril est une perle brillante d’un jeu d’objets cachés entaché d’un modèle freemium périlleux.
Pearl’s Peril est la première incursion sur la scène des objets cachés sur Facebook par wooga, le développeur de jeux sociaux de Monster World et Diamond Dash .
Dans le jeu, vous incarnez Pearl, une jeune femme pilote dans les années 1920 animées qui laisse la vie qu’elle connaît derrière elle pour découvrir la vérité sur le suicide présumé de son ex-père, se lançant dans une aventure déchirante qui emmène les joueurs à l’autre bout du monde.
L’histoire de Pearl’s Peril est bien écrite et captivante à chaque tournant, avec un assez bel élément de mystère ajouté. Bien qu’il n’y ait pas de travail de voix off à trouver, une ambiance océanique apaisante et une bande-son des années 1920 font plus que suffisant pour mettre l’ambiance du jeu.
Une chose que j’ai trouvée un peu à propos du son du jeu, c’est qu’il disparaît complètement à intervalles réguliers chaque fois que deux personnages discutent de quelque chose. Je peux toujours entendre le clic lorsque je fais défiler le dialogue, mais tout le reste devient muet.
Cela me tire vraiment de l’atmosphère d’une manière négative. Mais c’est une plainte mineure par rapport au modèle freemium mal utilisé qui restreint le gameplay de Pearl’s Peril à chaque tour.
Les temps d’attente pour construire de nouveaux bâtiments et moderniser les bâtiments existants frisent l’absurde, la deuxième structure que j’ai achetée nécessitant 24 heures de construction. Si je voulais accélérer le processus, je devais débourser 10 dollars de jeu, et il y a très peu d’opportunités (voire aucune) de gagner plus de cette devise sans payer de votre poche.
Ce ne serait pas un gros problème si tant d’actions dans le jeu ne nécessitaient pas de dépenser plus d’argent. 40 dollars de jeu pour 10 points d’énergie est un peu extrême, et il n’y a pas d’avantages de mise à niveau ou d’augmentation d’énergie à trouver, donc vous n’aurez pas vraiment d’autre option.
L’énergie se reconstituera lentement au fil du temps, à un taux de départ de 1 point d’énergie toutes les 20 minutes, et jusqu’à un plafond maximum pitoyable de 5. Les premières étapes du jeu souffrent d’un manque de quêtes secondaires pour vous aider, et c’est vraiment dommage car le modèle freemium laisse l’histoire intrigante du jeu segmentée et finement étalée.
Mais dans les moments où vous jouez réellement à Pearl’s Peril , le jeu est une explosion absolue, et vous traverserez des scènes d’objets cachés passionnantes comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Le jeu commence assez facilement, avec de gros objets flagrants à trouver comme des moulins à vent et des arcs-en-ciel. Mais plus vous vous habituez à chaque endroit différent, des tombeaux aux falaises et aux plages, plus de nouveaux objets sont ajoutés au mélange, et plus ces bonus blitz sont compliqués à gagner.
Le jeu est divisé en 7 chapitres initiaux, avec 5 scènes d’objets cachés à mémoriser dans chacun, et une scène d’aventure bonus qui mène à de nouvelles zones de l’île s’ouvrant au fur et à mesure que vous progressez. Chaque scène a jusqu’à 5 badges à gagner en fonction de votre score cumulé, et 3 indices mystérieux à trouver qui entreront en jeu dans la scène d’aventure de clôture du chapitre.
Vous devrez jouer à chaque paramètre des dizaines de fois pour gagner chaque badge et continuer l’intrigue, mais la nature rapide du jeu fait que cela semble à peine redondant; et les mises à jour hebdomadaires prévues du contenu de Pearl’s Peril dans un format sérialisé ne laisseront guère les joueurs en manque de choses à faire.
Pourtant, alors que les scènes d’objets cachés dans Pearl’s Peril sont toutes sortes de plaisir, les aspects sociaux de la construction de la ville laissent beaucoup à désirer. Le cadre de l’île inactive est sans vie et terne, et les textures de l’océan ne dépassent même pas le littoral immédiat.
L’achat de nouveaux bâtiments et objets de décor augmentera votre prestige total, ce qui débloquera à son tour de nouveaux paramètres d’objets cachés, mais la mécanique derrière cela est au mieux un peu discutable. Par exemple, j’ai rempli ma jauge de prestige assez tôt dans le jeu et j’ai déverrouillé un nouveau paramètre au chapitre 2.
Cependant, comme il me restait encore tout un tas de badges à gagner au chapitre 1, je ne pouvais même pas accéder au nouveau niveau auquel je venais de dépenser tout cet argent, et il n’y avait aucune autre incitation à vraiment faire autre chose avec les aspects de la construction de la ville à ce moment-là.
Péril de perle
Pour un jeu Facebook, j’ai été surpris de voir à quel point l’intégration sociale dans Pearl’s Peril est limitée , car la seule fois où vous pourrez vraiment interagir avec vos amis Facebook, c’est en les suppliant de vous envoyer de l’énergie gratuite pour que vous puissiez continuer à jouer.
En fin de compte, alors que Pearl’s Peril est un solide début d’objet caché de wooga avec une belle histoire et un gameplay amusant, il a parfois un peu de mal à trouver sa place. Le jeu vous fait parcourir de brillantes scènes d’objets cachés une minute, puis attendre 24 heures qu’un café parisien soit construit la suivante, afin de débloquer un nouveau niveau auquel vous ne pourrez pas accéder avant un moment de toute façon. wooga prévoit de continuer à mettre à jour ce titre au cours des prochains mois et peut-être des années, alors espérons que Pearl trouvera un rythme approprié pour poursuivre sa quête dans les semaines à venir.
